Les taux d’immigration en Europe varient de moins de un à près de cinq pour mille (en Irlande : 4,76, le record – battu toutefois par le Luxembourg avec 8,54 pour mille habitants). En France ? 1,48 pour mille. Un taux sensiblement plus faible qu’en Autriche (1,88), au Royaume-Uni (2,17), en Suisse (2,21), en Italie (2,06), en Allemagne (2,19), au Danemark (2,49), au Pays-Bas (2,55), en Norvège (1,71), au Portugal (3,23), et même en Suède (1,66). Seules la Belgique (à 1,22), l’Espagne (à 0,99) et la Finlande (à 0,73 pour mille), enregistrent des taux plus bas. Où l’on vérifie que les politiques racistes n’ont pas forcément besoin d’étrangers pour se monter en épingle.
2 mars 2009, le Migration policy institute – un think tank basé à Washington, et dédié à l’étude des mouvements migratoires à travers le monde – publie ses données mises à jour sur les taux d’immigration recensés dans les pays européens.
Autriche : 1,88/1000
Royaume-Uni : 2,17/1000
Suisse : 2,21/1000
Espagne : 0,99/1000
Italie : 2,06/1000
Allemagne : 2,19/1000
Finlande : 0,73/1000
Danemark : 2,49/1000
République tchèque : 0,97/1000
Belgique : 1,22/1000
France : 1,48/1000
Irlande : 4,76/1000
Luxembourg : 8,54/1000
Pays-Bas : 2,55/1000
Norvège : 1,71/1000
Portugal : 3,23/1000
Suède : 1,66/1000
[Source : MPI]