Un site basé sur la maquette des graphistes Charlotte et Marion, réalisé avec le CMS Drupal 7 en collaboration avec Nico (de la commission "communication-diffusion-presse").
Pour ce site, le choix d’utiliser un CMS robuste et extensif était nécessaire pour prévoir les différentes possibilités d’utilisation démocratique des membres du mouvement des Indignés parisiens.
Ainsi, chaque membre de commissions et groupes de travail ont bénéficié d’un compte sur ce site web pour pouvoir poster des compte-rendus, maquettes de tracts et d’affiches, de rendez-vous dans l’agenda...
Un statut particulier d’auteurs a été créé pour que des volontaires fassent des corrections orthographiques sur les articles déjà publiés par d’autres. Une fois ce travail effectué, les uns et les autres se mettaient en relation pour valider les modifications.
Sur ce site web, que nous avons maintenu et amélioré techniquement, nous avons ajouté des modules pour afficher les derniers flux twitter, facebook...(qui ont joué un rôle non-négligeables dans les Printemps Arabes et Indignd@s) ainsi que des photo postés sur flickr (repérés automatiquement à l’aide de la recherche de meta-tags).
Nous avons également intégré des flux de streaming vidéo, issus de plusieurs comptes ustream, bambuser, livestream, etc) parfois affichés côte-à-côte lors de grands évènements où plusieurs personnes filmaient avec des smartphones en simultané.
Un système de newsletter a également été mis en place, ainsi qu’une web-radio (mise en place et maintenue par David) avec des outils open-source.
Voici la maquette qui nous a servi de référence pour l’intégration de la charte graphique :
Le site web a depuis subi un "relooking" et a été abandonné, avec ses archives, compte-rendus de réunions.
Pour plus d’informations sur ce mouvement, revendiquant et expérimentant la démocratie réelle et militant pour l’annulation des dettes nationales, voilà un livre-chronique que j’ai co-écrit avec des membres du mouvement : "On nous appelle les Indignés - Chronique parisienne" édité en avril 2012 chez l’Esprit Frappeur.